L’ #hypersensibilité , les attentes, la déception, les scénarios d’anticipation négatifs ou trop optimistes… capter au-delà des mots, craindre avant même d’expérimenter, chuter, se relever dans le vertige du décalage ou de la réalité plate.
Cette semaine est une semaine d’essorage pour moi, pour certains de mes amis et pour mes coachees aussi.
C’est l’excès. L’excès d’ émotions , l’excès de sensibilité et pour beaucoup de la tristesse de devoir lâcher le #rêve pour se confronter à la #matière qui se vêt parfois d’une lourde vacuité (l’image est certes absurde mais elle me plait beaucoup) quand on cherche ailleurs ce qui est déjà présent en soi.
Et dans ces moments là – sur lesquels il est essentiel de communiquer aussi pour moi : que fait-on quand tout semble contredire nos projets ? – j’ai beaucoup de gratitude envers la vie et envers mon choix d’avoir deux merveilleux #chevaux et de faire de l’ #équicoaching.
Un instant de #reconnexion réelle avec eux, en #méditant en #pleine #conscience permet de se recentrer en quelques minutes, de retrouver de la sérénité et de savoir que dans cet état-là et dans la seule temporalité qui vaille le coup de s’y attarder, le tout est pleinement atteint dans le rien, le message est intégré et à cet instant précis où cela redevient fluide, un cheval vient se coller à nous comme pour confirmer qu’il était temps de lâcher le mental.
Cette expérience c’est mon expérience du jour juste avant un coaching avec Val, l’un des mes chevaux. On peut être #coach ou en travail sur soi, ce travail est continu et quotidien.
Ce genre d’expérience vous est accessible en séance d’équi-coaching individuelle ou en groupe lors d’un de mes ateliers. Il y aura d’ailleurs un atelier « reconnexion » qui sera organisé avec Passerelle vers le monde animal fin juillet.
Prenez soin de vous et de vos émotions.
Diana
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